Fonds d'imprimés anciens chinois
Collection
Titre
Fonds d'imprimés anciens chinois Voir tous les collections avec cette valeur
Identifiant
IMPRIMES_CHINOIS
Description
Les collections du domaine chinois se répartissent entre le fonds pré-moderne et le fonds moderne et contemporain.
Le fonds pré-moderne comprend un peu plus d’un millier de titres chinois, édités entre le XVIe siècle et la chute de l’Empire chinois en 1911. Il s’agit principalement d’imprimés : xylographies, éditions à caractères mobiles et premières impressions à l’occidentale, réalisées par les missionnaires ou les premières presses chinoises. On compte également des petits corpus de manuscrits et d’archives, dont l’inventaire complet reste à faire.
Le fonds pré-moderne comprend un peu plus d’un millier de titres chinois, édités entre le XVIe siècle et la chute de l’Empire chinois en 1911. Il s’agit principalement d’imprimés : xylographies, éditions à caractères mobiles et premières impressions à l’occidentale, réalisées par les missionnaires ou les premières presses chinoises. On compte également des petits corpus de manuscrits et d’archives, dont l’inventaire complet reste à faire.
Les documents du fonds ancien couvrent les fondamentaux de la culture chinoise, traditionnellement classés en quatre catégories : classiques 经, histoires 诗, penseurs 子 et belles lettres 集. Ce fonds reste encore largement à étudier, mais on peut déjà faire état de corpus intéressants. On y trouve par exemple une centaine de titres chrétiens – catholiques et protestants – édités en chinois et en dialectes entre la fin du XVIe et le début du XXe siècle. Cet ensemble donne à voir les efforts des presses missionnaires en Chine, ainsi que les différents formats utilisés en fonction des publics visés. Autre curiosité, une trentaine de titres sur l’Islam, combinant caractères chinois et alphabet arabe, entrés dans les collections par l’intermédiaire de Gabriel Devéria et du docteur Féray, médecin en poste au Yunnan au début du XXe siècle. Il s’agit principalement d’éditions du XIXe siècle : traités religieux et philosophiques, biographies du prophète, récits de pèlerinages, introductions à l’islam, explication de l’alphabet arabe, etc.
Le fonds pré-moderne comprend un peu plus d’un millier de titres chinois, édités entre le XVIe siècle et la chute de l’Empire chinois en 1911. Il s’agit principalement d’imprimés : xylographies, éditions à caractères mobiles et premières impressions à l’occidentale, réalisées par les missionnaires ou les premières presses chinoises. On compte également des petits corpus de manuscrits et d’archives, dont l’inventaire complet reste à faire.
Les documents du fonds ancien couvrent les fondamentaux de la culture chinoise, traditionnellement classés en quatre catégories : classiques 经, histoires 诗, penseurs 子 et belles lettres 集. Ce fonds reste encore largement à étudier, mais on peut déjà faire état de corpus intéressants. On y trouve par exemple une centaine de titres chrétiens – catholiques et protestants – édités en chinois et en dialectes entre la fin du XVIe et le début du XXe siècle. Cet ensemble donne à voir les efforts des presses missionnaires en Chine, ainsi que les différents formats utilisés en fonction des publics visés. Autre curiosité, une trentaine de titres sur l’Islam, combinant caractères chinois et alphabet arabe, entrés dans les collections par l’intermédiaire de Gabriel Devéria et du docteur Féray, médecin en poste au Yunnan au début du XXe siècle. Il s’agit principalement d’éditions du XIXe siècle : traités religieux et philosophiques, biographies du prophète, récits de pèlerinages, introductions à l’islam, explication de l’alphabet arabe, etc.
Le fonds ancien comprend de très belles collections en langues occidentales, reflétant les origines des deux pendants de la sinologie : la sinologie religieuse et la sinologie scientifique. On y trouve les œuvres fondatrices des missionnaires, en particulier des jésuites, parmi lesquelles le De Christiana Expeditione apud Sinas suscepta ab Societate Iesu (1615) de Matteo Ricci, la Description de la Chine (1735) du père Du Halde, l’Art militaire des Chinois (1772) du père Amiot, la Notitia linguæ sinicæ (1831) du père Prémare ou encore le Dictionnaire chinois-français (1890) de Séraphin Couvreur. Ces ouvrages côtoient les premières réalisations des sinologues « laïcs » tels que le Fundamental Laws of China (1810) de l’anglais Georges Staunton et les ouvrages des « pères » de la sinologie française, Jean-Pierre-Abel Rémusat (1788-1832) et Stanislas Julien (1797-1873).
Contenus
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影宋鈔繪圖爾雅 = 爾雅音圖
Gravure sur bois. Imprimé sur un seul côté de feuilles pliées en deux avant d'être reliées à la chinoise -
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影宋鈔繪圖爾雅 = 爾雅音圖
Gravure sur bois. Imprimé sur un seul côté de feuilles pliées en deux avant d'être reliées à la chinoise -
影宋鈔繪圖爾雅 = 爾雅音圖
Gravure sur bois. Imprimé sur un seul côté de feuilles pliées en deux avant d'être reliées à la chinoise