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دیوان کمال اسماعیل
Copie acéphale. Contient les panégyriques et, à la fin, les رباعیات rubā’iyyāt. Copie très soigneusement calligraphiée ; le colophon final est en grande partie effacé ; on peut cependant encore lire une partie du nom du copiste, probablement حسن بن ابی بکر بن الجاجرمی التاجر (Hasan b. Abī ?) Bakr b. al-Ğāğarmī (al-Tāğir ?).
Début f. 1 : (…) از شرم لفظ تو دەن نقل بر شکر وزىاد خلق تو نفس عقل عنبرىن
Explicit : آتش [...] بس أطلس کفتى در ايذ همە عمر (...)
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سرگذشت محبوب
Copie anonyme. Le récit composé [par میرزاعلی اکبرخان Mīrzā ‘Alī Akbar Hān] débute en آذربایجان Azerbaïdjan. محبوب Mahbūb ; le narrateur (cf. p. 14) y raconte son histoire. Il commence par relater son enfance, son entrée à 6 ans à l’école du Bazar, où il resta 8 ans, puis ses expériences, ses aventures et ses voyages. Une note mise en tête du volume indique qu’il s’agit d’un « Ouvrage de میرزاعلی اکبرخان Mirza Ali Akbar Khan منشی monchi au consulat de France à تبریز (Tauris). Les aventures de محبوب Mahboub. Écrit sur mon ordre et fini le 7 février 1915. 20 kram de papier, 120 قران kram au scribe ». [Le consul général de France à Tabriz est alors Louis Alphonse Daniel Nicolas (1864-1939) ; peut-être cette note est-elle de sa main].
Incipit p. 1 : (…) يكشب از شبهاى زمستان در خانه تنها نشسته مشغول مطالعه بودم ناگاه (…) بسم
Explicit p. 389 : كند در حق درويشان دعائى مگر صاحبدلى روزى برحمت (…).
Une lettre du Père Albert-François Berthounesque, lazariste (1877-1954), de Tabriz, du 28-II-1914, est insérée à la fin du volume.
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Recueil de pièces calligraphiées provenant de la collection d’Amédée Querry
1. سیاه مشق Siyāh-mašq, Bi-folio de papier non filigrané. Calligraphie ; écriture نستعلیق nasta’līq. 179 x 220 mm. 1850/1899
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Recueil de textes de فقه fiqh en persan et en arabe constitué en Asie centrale
Le premier texte est une copie anonyme et non datée. Les textes II et III sont tous deux de la main d’un second copiste, qui se nommeملا محمد سید ختلانی Mullā Muhammad Sayyid Hutalānī (cf. colophon du n° III) ; les dates de copies sont mentionnées au colophon. A la fin du dernier colophon ce copiste a mis deux رباعی rubā’ī et deux بیت bayt de sa composition. - On trouve des gloses, empruntées à «مولانا شریف» « Mawlānā Šarīf », ou au کنز Kanz, de la main du copiste en marge du texte n° II ; son colophon est suivi de deux recettes et d’une prière. Au f. 10v d’autres prières et une tradition. Les contreplats, de papier, sont couverts de notes et d’essais de plume. On y trouve le nom de عبدالقادر ‘Abd al-Qādir originaire de کولاب Kūlāb, de ملا رحیم بای Mullā Rahīm Bāy, et d’autres noms, de la main de شریف فاضل طاهربای Šarīf Fāzil Tāhir Bāy.